L'arrivée à Guanajuato est un vrai cauchemar !
Cette ville s'étend sur plusieurs collines séparées par de profonds vallons, creusées d'innombrables galeries d'anciennes mines d'argent, . L'essentiel de la circulation automobile se fait dans les galeries souterraines. A plusieurs reprises on emprunte des tunnels aux ramifications labyrinthiques, pour ressortir ... de l'autre côté de la ville ! Impossible de se repérer sur le plan et quand on remonte en surface, la circulation est intense, compliquée par de nombreux travaux. On finit par se garer au hasard dans un parking souterrain.
On n'est heureusement pas trop loin de l'hôtel qu'on avait repéré. Celui-ci n'est pas génial : sympa en apparence mais quasiment à l'abandon et notre chambre est une cahute un peu misérable posée sur la terrasse à laquelle on accède par une échelle de meunier, cernée par des murs suffisamment haut pour qu'on n'ait aucune vue ! La première nuit sera rythmée par le bruit d'une rave, des chiens, des coqs et le clocher voisin qui sonne tout les 1/4 h sans en oublier aucun ... On y passera quand même deux nuits pour profiter de cette ville dont on a entendu le plus grand bien.
Malgré cette première impression désagréable la ville est assez mignonne. Les rues très escarpées sont bordées de maisons multicolores, il existe de nombreuses jolies placettes à fontaines, la cathédrale est superbe mais la "mussollinienne" université qui domine la ville est assez écrasante. Quant à l'animation estudiantine, elle nous a paru assez morne ces jours-là.
Il existe aussi un très amusant musée consacré à Don Quichote, rassemblant de nombreuses peintures, sculptures et objets de toute sorte inspirés par les aventures du chevalier à la triste figure ! Comme à Puebla, on y trouve une église San Roque.
Mais il faut bien avouer qu'après Queretaro et San Miguel on est un peu déçu et on a du mal à comprendre les *** dont la gratifie le guide bleu.
A quelques km à la sortie de la ville, sur la route de Dolores Hidalgo, se trouve l'église de San Cayetano de Valenciana qui vaut l'arrêt pour admirer sa façade d'un churrigueresque extrème !
Cette ville s'étend sur plusieurs collines séparées par de profonds vallons, creusées d'innombrables galeries d'anciennes mines d'argent, . L'essentiel de la circulation automobile se fait dans les galeries souterraines. A plusieurs reprises on emprunte des tunnels aux ramifications labyrinthiques, pour ressortir ... de l'autre côté de la ville ! Impossible de se repérer sur le plan et quand on remonte en surface, la circulation est intense, compliquée par de nombreux travaux. On finit par se garer au hasard dans un parking souterrain.
On n'est heureusement pas trop loin de l'hôtel qu'on avait repéré. Celui-ci n'est pas génial : sympa en apparence mais quasiment à l'abandon et notre chambre est une cahute un peu misérable posée sur la terrasse à laquelle on accède par une échelle de meunier, cernée par des murs suffisamment haut pour qu'on n'ait aucune vue ! La première nuit sera rythmée par le bruit d'une rave, des chiens, des coqs et le clocher voisin qui sonne tout les 1/4 h sans en oublier aucun ... On y passera quand même deux nuits pour profiter de cette ville dont on a entendu le plus grand bien.
Malgré cette première impression désagréable la ville est assez mignonne. Les rues très escarpées sont bordées de maisons multicolores, il existe de nombreuses jolies placettes à fontaines, la cathédrale est superbe mais la "mussollinienne" université qui domine la ville est assez écrasante. Quant à l'animation estudiantine, elle nous a paru assez morne ces jours-là.
Il existe aussi un très amusant musée consacré à Don Quichote, rassemblant de nombreuses peintures, sculptures et objets de toute sorte inspirés par les aventures du chevalier à la triste figure ! Comme à Puebla, on y trouve une église San Roque.
Mais il faut bien avouer qu'après Queretaro et San Miguel on est un peu déçu et on a du mal à comprendre les *** dont la gratifie le guide bleu.
A quelques km à la sortie de la ville, sur la route de Dolores Hidalgo, se trouve l'église de San Cayetano de Valenciana qui vaut l'arrêt pour admirer sa façade d'un churrigueresque extrème !
4 commentaires:
allez-y: superbes et dépaysantes photos. Mon frérot est un artiste!
J'ai envie d'y retourner.
Merci pour ces photos et ce récit.
Quel dommage que vos impressions de Guanajuato ne valent pas les miennes...faudra revenir :)
tu peux compter sur nous xa !!!
Enregistrer un commentaire