Samedi : nous quittons X et D et partons pour Queretaro, au N-O de Mexico. L'autoroute qui contourne la capitale au large par le N-E est toute neuve, mais pas un poste d'essence, pas une aire de détente sur 200 km, il vaut mieux le savoir avant de l'emprunter !
Arrêt à Tula, seul site archéologique que nous visiterons cette fois-ci. Il est situé dans une plaine où sont localisées les raffineries de la Pemex, autant dire que l'environnement est plutôt horrible. Le site n'est pas très impressionnant, seule la pyramide aux atlantes est originale, on est loin des merveilles de Palenque ou Monte Alban!
C'est cependant une bonne halte sur la route agrémentée par l'interview que nous fait passer une poignée de collégiennes qui font apparemment un exposé sur la vision qu'ont du Mexique les touristes étrangers. Elles voulaient nous parler anglais mais Cath exigera d'être interviewée en espagnol, non mais des fois on n'est pas des yankees !
Nous arrivons à Queretaro en milieu d'après midi. Le soir et toute la journée du dimanche nous flânerons dans cette belle ville, riche et bourgeoise, très traditionnelle sinon traditionaliste (on se croirait parfois en Castille), austère et hautaine en apparence si elle n'était égayée par les couleurs des façades et la luxuriance baroque des églises.
De nombreuses places avec des lauriers d'inde curieusement taillés en cylindres, de belles églises, et de nombreux petits orchestres disséminés dans les rues, les places et les patios.
Ambiance très musicale donc (de Bach au rap), il est vrai que c'est le week-end. Dans une église, une cérémonie de quinceañera (fête digne d'un mariage pour les 15 ans d'une jeune fille, très traditionnelle au Mexique, on en avait déjà vu quelques-unes à Puebla)
De nombreux musées dans de belles demeures auront droit à notre visite, et le soir la ville est encore embellie par de magnifiques éclairages.
Arrêt à Tula, seul site archéologique que nous visiterons cette fois-ci. Il est situé dans une plaine où sont localisées les raffineries de la Pemex, autant dire que l'environnement est plutôt horrible. Le site n'est pas très impressionnant, seule la pyramide aux atlantes est originale, on est loin des merveilles de Palenque ou Monte Alban!
C'est cependant une bonne halte sur la route agrémentée par l'interview que nous fait passer une poignée de collégiennes qui font apparemment un exposé sur la vision qu'ont du Mexique les touristes étrangers. Elles voulaient nous parler anglais mais Cath exigera d'être interviewée en espagnol, non mais des fois on n'est pas des yankees !
Nous arrivons à Queretaro en milieu d'après midi. Le soir et toute la journée du dimanche nous flânerons dans cette belle ville, riche et bourgeoise, très traditionnelle sinon traditionaliste (on se croirait parfois en Castille), austère et hautaine en apparence si elle n'était égayée par les couleurs des façades et la luxuriance baroque des églises.
De nombreuses places avec des lauriers d'inde curieusement taillés en cylindres, de belles églises, et de nombreux petits orchestres disséminés dans les rues, les places et les patios.
Ambiance très musicale donc (de Bach au rap), il est vrai que c'est le week-end. Dans une église, une cérémonie de quinceañera (fête digne d'un mariage pour les 15 ans d'une jeune fille, très traditionnelle au Mexique, on en avait déjà vu quelques-unes à Puebla)
De nombreux musées dans de belles demeures auront droit à notre visite, et le soir la ville est encore embellie par de magnifiques éclairages.
2 commentaires:
vraiment superbe!
..malgré le fond rouge
tu es repérée l'anonyme !
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